En Tunisie, des centaines de Subsahariens sont encore déportées quotidiennement dans le désert près des frontières avec la Libye et l’Algérie, alerte un rapport de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) publié le 18 décembre. Ces déplacements forcés avaient largement été documentés fin juillet dans les médias internationaux, mais cette pratique illégale se poursuit depuis l’automne en toute impunité.
"'Arrestations arbitraires', 'déplacements forcés' et 'expulsions illégales' vers les frontières avec Libye et Algérie, les migrants, réfugiés et demandeurs d'asile en Tunisie subissent 'une violence institutionnelle quotidienne', a dénoncé dans un rapport publié lundi l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT), basée à Genève."
"Aux yeux de l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits humains – partenaire de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) et de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) –, M. Yama était victime de « détention arbitraire et de harcèlement judiciaire »."
"Le rapport a été rédigé après deux missions secrètes d’observations judiciaires menées par la Fédération internationale pour les droits humains (Fidh) et l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT). Ce document offre un rare aperçu du fonctionnement de la justice en Biélorussie, transformée en machine à enfermer les opposants au régime du président Alexandre Loukachenko."
"Ces personnes disparues, 1352 individus selon une note de l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT) publiée en 2022, majoritairement des hommes âgés de 12 à 73 ans, étaient des journalistes, des syndicalistes, médecins, enseignants, agriculteurs, ou encore de simples villageois originaires de la région de Turquie à majorité kurde."
"En se débarrassant d’êtres humains dans le désert, la Tunisie a provoqué un opprobre international sans pareil. Un crime de masse selon, Hélène Legeay, directrice juridique l’Organisation mondiale contre la torture Tunisie (OMCT), qui a travaillé à la saisine adressée aux Nations unies qui confirme le drame qui se joue à la frontière."
"Uni·e·s contre la torture, c’est l’initiative de six organisations à la tête de réseaux pour les droits humains dans plus de 100 pays. Ensemble, nos voix sont fortes, avec vous elles le sont encore plus."
"Pour être organisée, une session spéciale doit être soutenue par un tiers des 47 membres de l'instance onusienne au moins. Parmi les dizaines d'ONG qui leur demandent de prévoir une réunion figurent notamment Amnesty International (AI) ou l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT)."
"La Ligue tchadienne des droits de l’homme et l’Organisation mondiale contre la torture ont sorti un rapport sur la répression des manifestations du 20 octobre 2022. Pour en savoir plus, VOA a joint le conseiller aux droits de l'homme pour la région Afrique à l’OMCT, Isidore N’Gueuleu."
"La Garde nationale, et donc le ministère de l’Intérieur, transfère des migrants vers ce centre à partir de prisons ou d’autres centres de détention, avant de les déporter ou de les libérer. Selon les derniers chiffres de l’Organisation mondiale contre la torture – l’un des rares organismes autorisés à accéder à ce centre –, 51 migrants sont actuellement détenus là-bas."
"« La dégradation de la situation des droits humains en Algérie est plus que jamais préoccupante », ont condamné le 27 janvier dans un communiqué commun la Ligue (française) des droits de l’homme (LDH), la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) et l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT)."
"Selon l'OMCT, cette situation "se manifeste sous la forme de restrictions arbitraires de liberté, de restrictions répétées à travers des assignations à résidence, des interdictions de quitter le territoire, des visites de la police, des convocations au poste de police. C'est une nouvelle forme de contrôle sociétal qui fait des ravages psychologiques et aussi matériels chez les gens qui sont visés", a ajouté la responsable de l'OMCT."
Rose Trajano, du Mouvement de la Défense des Droits Humains et de la Dignité, sur la politique de Marcos Junior: "Au cours des trois premiers mois de sa présidence, 90 personnes ont déjà été tuées lors d'opérations de police et deux journalistes ont été tués. Ce sont donc les signes que rien ne va vraiment changer".
" Lundi, l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) a accusé le pouvoir de « graves violation des droits humains » dans la répression des manifestations de jeudi et d’avoir tué au moins « 80 personnes ». L’ONG affirme avoir saisi les rapporteurs spéciaux de l’ONU de cas d’« exécutions sommaires » et de « tortures » sur « des manifestants pacifiques »."
"Le gouvernement de transition avait reconnu dès jeudi qu’une « cinquantaine de personnes » avaient été tuées, dont une dizaine de membres des forces de l’ordre, et accusé l’opposition d’avoir fomenté « une insurrection » et « un coup d’État ». Mais les ONG, elles, ont parlé de dizaines de « manifestants pacifiques » tués par balles et fait mention de centaines blessés à N’Djamena et dans quatre villes du sud."
"Isolement, abus, tortures... Ce défenseur des droits humains incarcéré depuis près de 12 ans a enduré de terribles souffrances aux mains des autorités marocaines. Outre les traitements sévères dont il est régulièrement victime en prison, il n'a pas vu sa famille depuis septembre 2018, a relaté l'OMCT."
"Dans une lettre ouverte adressée à Karin Keller-Sutter, l’Organisation mondiale contre la torture demande de « mettre immédiatement fin aux procédures de renvoi » vers le Sri Lanka."
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