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La Tanzanie n’est pas partie à la Convention contre la torture et les autorités ont limité de nombreux droits humains. Des membres de l’opposition politique ou des militant-e-s font l’objet d’une répression sévère, y inclus l’usage de violences policières, le harcèlement et l’intimidation. Il y a de nombreux cas de journalistes critiques de la politique tanzanienne qui sont accusés d’infractions ne permettant pas une libération conditionnelle. Le pays est également confronté à des problèmes à l’intérieur des camps pour réfugiés, qui ont amené le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés à parler d’une situation « alarmante ». Les camps sont surpeuplés, particulièrement celui de Nduta, entraînant des risques pour la santé et la sécurité. Une autre conséquence est que les autorités sont incapables de prévenir la violence sexuelle ou basée sur le genre, ou d’y donner une réponse adéquate.