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Il est fréquemment fait état d’attaques et de tentatives d’incendie criminel contre des biens appartenant à des défenseur·e·s des droits humains et à des journalistes. Un certain nombre d’organes de protection des droits humains des Nations unies et d’organisations de la société civile ont également relevé l’usage disproportionné de la force par la police et l’armée contre des manifestant·e·s non violents, notamment contre des militant·e·s et des journalistes, qui sont souvent poursuivi·e·s en justice pour avoir simplement voulu faire leur travail. Plusieurs correspondant·e·s de la presse étrangère ont été expulsé·e·s. Le gouvernement par intérim a pris des mesures très inquiétantes, dont certaines contribuent à assurer l’impunité des membres de l’armée responsables d’abus dans le cadre d’opérations de contrôle de foule. L’OMCT continuera de dénoncer ces crimes et de lancer des appels en faveur de la liberté et de la sécurité des défenseur·e·s des droits humains et des journalistes en Bolivie.