Alerte: Israël-Gaza : Appel au cessez-le-feu et à l'arrêt des attaques contre les civils
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Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants: ratification ou adhésion État partie depuis le 12 mars, 2001. État partie au Protocole facultatif à la Convention (OPCAT) depuis le 26 septembre, 2006
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Serbie

Tour d’horizon

Un gouvernement de plus en plus répressif et la pandémie de la Covid-19 ont créé des conditions propices aux violations des droits humains en Serbie. Le gouvernement serbe est connu pour contrôler la police et le système judiciaire, ce qui affaiblit encore davantage l'État de droit et le respect des droits civils et politiques, et accroît la corruption.

La Serbie a un mauvais bilan en matière de protection des droits humains des détenus, de conditions d'insalubrité dans les centres de détention, de violations du principe de non-refoulement, de mauvais traitements infligés aux demandeurs d'asile et d'attaques contre les défenseurs des droits humains et les journalistes. En 2020, des rapports ont fait état d'une augmentation de l'usage excessif de la force lors de manifestations pacifiques contre les restrictions liées à la pandémie.

De nombreux agents de l'État et militaires responsables de crimes de guerre dans les années 1990 n'ont toujours pas été jugés par les tribunaux ni condamnés. Malgré la législation existante visant à accorder des réparations aux victimes de crimes de guerre, en raison du cadre juridique inadéquat et de l'absence de responsabilité, seule une fraction des survivants a obtenu une forme de compensation.

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